Le financement participatif est en plein boom et le succès des plates-formes dédiées ne se dément pas en Suisse. Les chiffres en témoignent: en 2017, pas moins de 375 millions de francs y ont été levés par ce biais, soit trois fois plus que l’année précédente, rapporte le journal en ligne Allnews.com. Une grande partie de ces fonds servent à financer le développement des entreprises sous forme de prêts. Elles y trouvent un bon moyen d’élargir leurs ressources ou de tester l’originalité et la viabilité de leurs nouveaux produits. Au Japon, Sony a ainsi utilisé sa propre plate-forme de financement participatif, First Flight, pour lancer sa montre connectée Wena.
Résultant de l’évolution de la finance participative, une autre pratique a le vent en poupe: le crowdfunding immobilier. Dans ce domaine, il existe deux pratiques bien distinctes qui n’ont de commun que le terme «immobilier»: le crowdlending et le crowdinvesting.
Financement participatif de la promotion immobilière d’un côté, de l’acquisition d’actifs immobiliers de l’autre... Vous l'aurez compris, ces deux types de crowdfunding ont des cultures, des logiques et des acteurs différents. Toujours est-il que le volume de transactions par investissement alternatif de biens immobiliers – tant sous forme de prêts que sous forme de prise de participations – démontre que ces deux catégories prennent part au développement du secteur.
L’aspect révolutionnaire du crowdfunding immobilier réside dans le fait qu’il offre des rendements des plus alléchants et un ticket d'entrée accessible. Ainsi, il démocratise ce type de placement rentable qui était depuis toujours réservé aux institutionnels et aux investisseurs les plus fortunés. Cerise sur le gâteau, le risque est maîtrisé et réduit à son minimum pour l'investisseur, car les sommes prêtées peuvent être modestes et les défauts constatés sur les opérations sont marginaux.
Si le crowdfunding immobilier présente de nombreux avantages et peu de danger, le risque zéro n’existe pas et on ne peut pas s'improviser investisseur du jour au lendemain. Alors, afin de minimiser les prises de risque, plusieurs dispositions peuvent être prises. Tout d’abord, il faut sélectionner soigneusement les opportunités. Il est nécessaire de passer au crible les informations communiquées dans la note de synthèse de chaque projet pour être certain de la viabilité de ceux-ci. Ensuite, vous pouvez choisir de varier vos investissements. La diversification de son portefeuille permet de miser de plus «petites» sommes sur plusieurs projets que vous aurez triés sur le volet. Cela permet, là encore, de réduire les risques. Enfin, si vous vous ne souhaitez pas vous poser toutes ces questions, vous pouvez simplement choisir de vous faire accompagner dans vos démarches.
Grâce à un comité d’experts de l’industrie immobilière, nous mettons une attention toute particulière dans la sélection des biens, selon trois critères principaux: l’offre et la demande dans la zone en question, le rendement potentiel et la sécurité de l’investissement. Aussi, nous sélectionnons des immeubles déjà existants, qui présentent un état locatif sûr. Pour encore plus de sérénité, nous faisons établir des rapports d'expertise par des experts immobiliers indépendants et agréés, comme le cabinet Wüest Partner, leader dans leurs domaines et pouvons compter sur le soutien de la banque Raiffeisen.
Avec un ticket d’entrée de CHF 20'000.- et des rendements estimés à environ 6%+, notre plate-forme de crowdinvesting a pour vocation de démocratiser l’investissement immobilier. Rejoignez la révolution!