Actions, obligations, fonds… Lorsque qu’on compare les différentes alternatives de placement, l’immobilier s’avère être de loin l’actif le plus intéressant.
Mais qu’en est-il réellement ?
Des taux d’intérêts négatifs sont imposés, depuis plusieurs années, sur les dépôts par les banques centrales, à l’instar de la Banque centrale européenne (BCE) ou de la Banque nationale suisse (BNS).
Ces mesures, qui s'inscrivent dans une politique monétaire expansionniste, sont censées stimuler l’économie.
En effet, il est donc moins intéressant de détenir des liquidités, ce qui favorise l’investissement. Quant au crédit meilleur marché, il stimule la demande.
La question est alors de se demander si cette théorie fonctionne en pratique ?
Cette manœuvre financière a bien évidemment des répercussions sur les particuliers.
Pour commencer par la moins bonne nouvelle, la situation a amené les banques du pays à supprimer complètement l'intérêt sur l'épargne.
En d’autres termes, et en tenant compte de l’inflation, garder votre argent de côté dans un compte vous coûtera de l’argent ! Il vaut mieux réfléchir à une autre solution plus rentable.
La bonne nouvelle, c'est que ces taux d’intérêts historiquement bas présentent aussi des avantages.
En effet, les marchés immobiliers ont connu une évolution remarquable ces dernières années, comme l'atteste Francesca Boucard de Swiss Life Asset Managers dans les colonnes de Allnews.
À présent, investir ses avoirs dans un bien résidentiel offre une rentabilité qui dépasse les autres types de placements.
À titre de comparaison, en Suisse, le rendement issu de loyers s’élève en moyenne à 7,05% alors que la performance moyenne des actions est de 2,89%, celle des obligations de 2,5% et celle du marché monétaire de 1%.
Si les promesses du placement immobilier peuvent paraître alléchantes, il ne faut pas non plus s’imaginer pouvoir investir à tout-va… Retenez bien qu’il est vital de bien connaître le marché avant de s’apprêter à investir !
Ces aspects sont donc à évaluer pour être certain de bien placer vos économies.
La pierre s’avère être le placement le plus sûr à court, moyen et long terme.
En effet, les loyers représentent un flux de liquidités régulier avec une possibilité de plus-value en cas de revente du bien.
En raison de la conjoncture économique, on constate aujourd’hui un nombre croissant de particuliers qui se lancent dans l’aventure. Si la plupart d’entre eux disposent de fonds conséquents, il existe à présent des solutions qui rendent l’investissement immobilier accessible à toutes les tailles de bourse : le crowdfunding immobilier.
La force de ce dernier est qu’il permet de réunir des investisseurs autour d’un projet en mutualisant leur épargne et d’accéder ainsi à la copropriété.
Grâce à un investissement minimum, vous avez la possibilité de vous assurer un revenu fixe, stable et mensuel allant de 5% à 8% sur une durée de 3 à 7 ans, de manière usuelle.
L’investissement dans l’immobilier locatif reste encore un des placements les plus avantageux. Seulement, il est recommandé de bien maîtriser le marché de l’immobilier. Si ce n’est pas votre cas, vous pouvez très bien faire confiance à des professionnels tels qu’Imvesters qui connaissent ce marché. Cela vous permettra de tout déléguer afin d’investir sereinement.
Le risque locatif demeure toujours présent et doit être pris en considération. C’est à ce niveau-là que la solution du crowdfunding immobilier est davantage intéressante.
En plus d’être accessible au plus grand nombre, elle dilue le risque locatif par rapport à un investissement en PPE (propriété par étage), par exemple. Elle procure au propriétaire un droit de jouissance exclusif sur une partie déterminée de l’immeuble, à savoir un appartement uniquement.